@LCM, je partage l’avis de @sulian, de mon point de vue : une voix égale une voix.
- Il n’y a donc aucune raison de pondérer.
Les chances sont égales pour chacun d’influencer, de part son vote, l’inclinaison de la loi. C’est donc un processus juste pour tous.
La question ne se posera de toute façon pas puisque les données disponible via FranceConnect limitent les variables à celles collectées lors des recensements.
Il restera cependant un changement de « règles » moins évidentes à admettre : un femme majeure mais souffrant d’un handicap mental aura le droit de vote, de même qu’une adolescente, un condamné privé de ses droits civiques ou un étranger.
- Le point 1b est très intéressant :
Je pense même qu’il va falloir trancher assez vite pour déterminer comment s’arranger avec la virgule même si cela dépend aussi du nombre de porte-voix.
- Enfin le point 2 devrait être explicité très très clairement aux députés porte-voix car, en effet, on ne peut pas se reposer sur la seule possibilité pour eux de choisir un camp en fonction de leurs convictions. Sinon on va inévitablement avoir des cas où aucun d’eux ne souhaitera adopter l’expression demandée par la plateforme.
A mon sens la réponse devrait être dans la pédagogie. Ce député d’un genre nouveau se contentera de répercuter les voix tout en ayant la garantie que la sienne est incluse. De cette façon, quoi qu’il arrive son vote aura été comptabilisé, sa voix aura été entendue.