Elle participe notamment à la construction de plateformes pour faire participer les citoyens aux prises de décisions de l’assemblée.
« La plupart des technologies que nous avons déployées à Taïwan étaient
neutres : elles avaient pour but d’inciter les gens à se parler, c’est
tout. Nous avions un très fort code de neutralité. »
«Ils nous ont dit : “Vous avez dit que vous pouviez faire mieux que les
législateurs. Prouvez-le maintenant.” Et c’est ce qu’on fait depuis.»
Aller lire cet article, très inspirant !
@manudu95 : on la contacte pour repartir d’une page blanche ?
@toan_lyon
Quelle expérience ! Wow, un personnage hors pair. Un exemple à suivre… Avec une grande idée qui en ressort : les gens sont prêt à changer. A nous de leur donner les moyens simples et accessibles.
Je trouve que la contacter serait une super idée.
Devons-nous pas finir notre cahier des charges avant ?
Pour ma part, je trouve qu’on avance sur beaucoup de point sans pour avoir notre projet MAVOIX
exemple ce post :
Après la lecture de cet article, je comprends mieux le pourquoi du terme « hacker » qui est repris dans la campagne. L’expérience de Taiwan est inspirante et j’aimerai poursuivre cette conversation, tout en tenant compte de ce que signifie « hacker » dans l’esprit des gens en général.
Littéralement, “hacker” signifie “pénétrer pour prendre le contrôle”. C’est bien de cela dont il s’agit. Pénétrer l’Assemblée nationale pour permettre au Peuple non pas d’être (plus ou moins) représenté mais de s’exprimer directement sur les lois.
Je suis (plus ou moins) d’accord avec cette explication, mais si on faisait un sondage en France, on aurait certainement beaucoup de réponses du style : « vous voulez pirater l’assemblée nationale ».
Même si l’idée d’un hack positif à la Audrey Tang serait une révolution à laquelle travailler, je pense qu’en attendant il faut être prudent dans l’emploi du terme. Nous respectons les règles, nous ne piratons rien. Il faut être clair là dessus.