Validation des candidatures et conflits d'intérêt

Bonjour,

J’ai eu une petite réflexion hier et je vous la partage pour que vous me donniez vos avis.
Avec le formulaire de l’appel à candidature, il va y avoir une étape où des humain·e·s de #MAVOIX devront valider les candidatures et donc juger si elles sont correctes et pas farfelues (supprimer Hulk, Homer Simpsons, …).

Dans l’absolu, rien n’empêcherait ces humain·e·s de #MAVOIX de présenter une candidature au TAS. Mais je pense qu’il y aurait ici un conflit d’intérêt (entre « je présente ma candidature » et « j’approuve les candidatures »).
Qu’en pensez vous ?

Et si nous sommes d’accord sur ce point, j’ai imaginé une solution : rendre publique la liste de personne approuvant les candidatures ET que chacune de ces personnes écrivent quelque part un engagement moral du style « Comme je participe à la validation des candidatures au TAS, je m’engage à ne pas présenter de candidature en mon nom au TAS »
Est ce que ça vous semblerait suffisant ?

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Bonne idée @sulian.
En tous les cas, il n’y a pas de « comité de sélection » de candidatures. Mais effectivement il y a des modérateurs pour mettre en ligne.
Pour moi les cas de figure sont assez simples, il faut que les modérateurs vérifient que les engagements sont pris et la CNI pour mettre en ligne.
Ne peuvent être publiées les candidatures dont les textes tombent sous le coup de la loi (diffamation).
Trouvons ensemble les différents cas de figure.

Il y a aussi dans cette équipe de modérateurs un engagement pris en son nom et signé je ne sais pas comment, mais un engagement écrit car les données sont ultra sensibles (données personnelles, ID, etc…)

Pour les modérateurs, seuls les prénoms doivent être connus (mis sur le wiki), pas les noms de famille. Il faut juste que les contributeurs.trices de #MAVOIX sachent qui sont celles et ceux qui engagent leur responsabilité sur ce chantier très sensible. En revanche, les gens qui déposent ne peuvent pas connaître les identités personnelles des modérateurs (même si ça ne sera pas difficile à trouver), pour si leur candidature devait être refusée pour diffamation, etc… s’attaquer à ces personnes. (je dis ça pas pour moi, avec mon prénom je suis grillée).

Tu as raison, et en même temps, on a besoin de Colin dans le démarrage à minima et il serait candidat.

Je suis volontaire s’il y a besoin et je ne suis pas candidate ;-). Peut être commencer par une toute petite équipe de 4, 5 personnes serait bien qui rodent le chantier, se rende compte du truc à gérer et ensuite ouvrir un volontaire par un volontaire si l’afflux est massif avec un temps de tuilage. Si j’ai bien compris, il n’y a qu’un identifiant pour toutes et tous. Les codes ne peuvent se balader dans la nature. On engage notre responsabilité et la confiance des gens candidats.

@ColinMaudry demande une réunion pour écrire la procédure ensemble et discuter de tout ça.
Idéalement, il faudrait la faire je sais pas quand mais ça me parait nécessaire que des premiers jalons soient posés pour la mise en ligne cette nuit ;-). arghhh !!
Si tu n’es pas candidat @sulian, pourrais-tu leader le chantier et guider la petite équipe pour le démarrage ?

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Je comprends bien tes inquiétudes @sulian, je les trouve en partie fondées, mais je pense qu’elles ne nécessitent pas le filtrage que tu préconises.

Ici, comme tu le dis, nous avons le risque qu’un candidat qui est également validateur valide sa propre candidature, en négligeant voire ignorant les consignes de validation (qui restent à définir).

Sa candidature serait alors mise en ligne, aux yeux de tous, y compris des autres validateurs.

Du coup, il me semble assez aisé de parer au risque que tu redoutes en faisant valider et vérifier les candidatures des validateurs par les autres validateurs, ou toute personne au fait de la « double casquette » du candidat. Il y aura suffisamment peu de validateurs, et a fortiori de candidats-validateurs, pour que le coût en temps soit négligeable.

De plus, les scénarios de validation définis de manière collégiale auront intérêt à laisser peu de marge au jugement du validateur, ne serait-ce que pour accélérer le processus et éviter les états d’âme.

Je pense que nous sommes dans une situation ou la transparence et la procédure contrecarrent le risque de favoritisme ou d’auto-favoritisme.

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Du coup, la procédure de validation, avec son arbre décisionnel, devra être public et facilement accessible.

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Une précision, les codes d accès peuvent être donné différents pour chaque admin, mais il n y a pas d interface de gestion des utilisateurs qui aurait permis a chacun d être maître de son mot de passe. Là, il y aura forcément une personne qui sera en charge d’enregistrer les mots de passe des autres… On aurait pu imaginer des logs pour savoir qui accepte/refuse quoi, voir un système de modération à plusieurs… bref, on a manqué de temps … je suis assez d accord pour l idée d engagement moral (écrit) et une procédure. J en proppse une :

La modération se fait de manière collective ( avec un partage d ecran) on ne fait qu un seul acces, on planifie un hangout/skype. parce qu’il n y a pas que le fait d avcepter/refuser qui peut-être problèmatique… il y a aussi des modifications éventuelles. Le hic, c est qu il fait que les modérateurs soient disponibles souvent pour être réactif … :frowning:

@sulian on touche du doigt le problème qui me tient tant à coeur et que j avais du mal a vous expliquez l autre jour : comment on prend une décision à l horizontale ? il faudrait, en amont de toute définition d objectif d un groupe ( #mavoix ou autre), proposer une méthode pour prendre des décisions au sein du groupe. La plateforme de vote (que je n ai toujours pas vu) ne peut-elle pas nous aider ici ? L utilisation d un loomio ou autre ? … je dit ça, mais je pense qu on a pas le temps de monter une procédure compliqué…

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entièrement d’accord sur tout ;-).

coucou @TomMorey, voici mon regard (et c’est juste mon témoignage) qui peut t’apporter un point de vue sur comment les choses se font et s’améliorent tout au long de l’expérimentation jusqu’à aujourd’hui. En gros ceux qui font décident ce qui leur paraît juste au moment où les choses se présentent. Ils. elles travaillent publiquement et rendent compte de leurs avancées et les confronte au regard des autres contributeurs.trices tout au long du processus.
Exactement comme le chantier du jour :wink: : travail de sly avec une première version puis du coup je réalise qu’on va avoir un gros problème avec les candidatures à traiter en graphisme, puis appel au secours, puis hangout du jeudi soir, puis travail de vous et échanges tout au long du process, puis propositions de textes enrichis par celles et ceux qui peuvent, puis alerte des uns et des autres sur des questions de droit, puis mise en ligne, puis, premiers bugs sur le fond ou sur la forme, puis premiers ajustements ;-), puis tuilage à d’autres, bref, un relai et des passages de témoins ;-).
C’est comme ça sur tout les sujets : l’appel à candidature, les films, les préparations des réu, le choix de la banque, des imprimeurs, des techniques d’art de rue ;-)), …

Aujourd’hui, les moments où se font l’essentiel des partages sont les réunions du jeudi soir, et des week-ends globaux.

Voici la note que j’avais écrite dans une autre partie du forum pour partager ce que je vois comme système d’orga adapté à #MAVOIX : à ta dispo pour en parler si tu en as envie :wink:

"La méthode privilégiée de délibération de #MAVOIX depuis sa naissance, c’est l’itération. Chacun apporte sa contribution. Et on avance comme ça.
Il n’y a pas de vote majoritaire pour imposer le point de vue des uns aux autres sur telle ou telle question.
La richesse de #MAVOIX tient à l’intelligence qui émerge du collectif, comme des compétences et de l’expérience apportée par les un.e et les autres sur les différents sujets.
Par exemple, sur le logo #MAVOIX, beaucoup de personnes au début du projet, l’écrivaient naturellement comme ça : #MaVoix. Et puis, Guillaume a réalisé la vidéo des bouches. Il a demandé un logo. Il n’y en avait pas. Il l’a écrit comme ça : #MAVOIX. Et le logo a été créé en fonction de ce qu’il avait mis.
On a monté le blog, la page et le groupe Facebook, le compte Twitter à partir de ça. Certains ont continué à écrire dans les mails ou les textes #MaVoix et c’est très bien.
L’affiche de campagne #MAVOIX, utilisée pour la première fois pour la législative partielle de Strasbourg, a été discutée lors de l’atelier de co-création des affiches qui s’est déroulé à Paris le 9 avril 2016. Le miroir a été apporté par Mélanie, le jaune par Claire, toute la mise en page par Claire et des dizaines d’heures d’atelier de co-création.
Les strasbourgeois aussi ont travaillé sur l’affiche. C’est d’ailleurs un passant qui a trouvé le slogan « Qui me représente le mieux ? » lors du tirage au sort Place de la République à Strasbourg, slogan qui est venu remplacer celui proposé initialement par les contributeurs.
C’était, encore une fois, incroyable. Et aucun des contributeurs de la France entière réunis à Saint Ouen, qui avaient eu d’autres idées, ne s’en est plaint, conscients de la richesse de cette intelligence collective qu’il ne faut pas seulement souhaiter et théoriser, mais accueillir quand elle est là.
Tout est discutable, tout le temps. Mais il y a un moment où il faut répondre à la question, concrètement être dans l’action. C’est aussi cela le principe de l’itération. On discute, on fait et après on analyse, on évalue, on améliore. Il faut avouer que jusqu’à présent, c’est assez magique !
On peut aussi considérer que ça fait partie de l’histoire de #MAVOIX, que c’est devenu culture commune, et que les choses évoluent au fur et à mesure. Par itération. On peut se dire aussi qu’on co-construit vers l’avant en trouvant une solution à chaque problème. On fait évoluer les choses action par action. Par la maturation. Dans le problème de l’instant T réside la solution :wink:.

Est-ce qu’on retourne la vidéo des bouches parce que les peaux sont trop claires ? NON !!! Le logo, la vidéo, les textes, la FAQ, la page, le groupe sont à l’image de ce qu’était #MAVOIX à l’instant T. On avance là dessus.

On part de l’existant. En revanche, chaque personne est légitime à travailler pour proposer des évolutions quand quelque chose ne lui convient pas.
Personne n’interdit à personne de faire quelque chose. C’est comme ça que s’est fait le basculement de #MAVOIX de Slack vers un forum à base logiciel libre, par exemple. C’est comme ça aussi que chaque collectif local travaille avec les outils qu’il s’est choisi.
La seule limite : ne pas sans cesse remettre en cause ce qui est devenu culture commune au fil des itérations précédentes.
Ainsi, lors d’une une réunion direct hangout, une personne toute nouvelle <3 présente a mis sur la table la question du terme hacker. La réunion a tourné autour de ça et a abouti à une autre personne qui disait que finalement #MAVOIX n’était pas un bon nom. Que nous pourrions comme Podemos nous appeler « Nous pouvons ».
Quand on arrive à #MAVOIX, on prend le package passé comme une histoire, un héritage. Et on ne commence pas par tout vouloir repeindre du sol au plafond parce que la couleur des murs ne nous plaît pas. Il y a nécessairement un petit temps d’acculturation, d’observation, le temps que les uns et les autres transmettent le pourquoi du comment.
Chacun.e est libre de dire ce qu’elle ou il en pense comme n’importe qui, et ceux qui font prennent le lead et vont au bout en tenant compte des retours des uns et des autres.
Encore une fois, il n’y a pas de vote majoritaire pour imposer un unique point de vue sur telle ou telle question. De la même façon que l’ensemble des points de vue exprimés lors des votes sur la plateforme seront répercutés à la proportionnelle, pour que chacun.e soit représenté.e.
La différence entre la procédure de vote qui sera mise en place sur la plateforme à l’issue de la période de délibération et d’échange sur les projets de loi et le fonctionnement interne de #MAVOIX tient avant tout à la nécessité de pouvoir faire une photographie du débat à un instant T pour déterminer une position de vote. Le fonctionnement de #MAVOIX se fait lui sur une base organique : pas de nécessité de figer les choses, une construction par l’action.
Chacun.e vient à #MAVOIX avec le temps, l’énergie et les envies dont elle ou il dispose et accorde sa confiance à priori à ceux qui font du mieux qu’ils peuvent pendant ce temps là. Et, comme dans le logiciel libre, il peut y avoir des variantes.
Si les contributeurs et contributrices strasbourgeois de #MAVOIX veulent toujours faire leur propre tirage au sort local au moment du triage au sort national, ils le feront. Au nom de quoi pourrions nous leur imposer la vision qui s’est construite progressivement, réunissant l’analyse d’un grand nombre de collectifs locaux pour une plus grande efficacité d’un tirage au sort national ?
La question du tirage au sort est d’ailleurs un très bel exemple de la force de l’itération. Il y a quelques mois, si un vote avait été organisé sur le sujet, on aurait vraisemblablement choisi des tirages au sort locaux.
En laissant mûrir le sujet, en tirant les leçons de notre expérience et en discutant sur le forum, on est arrivé à une formule différente, plus riche, plus construite, plus conforme à l’ADN de #MAVOIX.
Un autre exemple tout à fait constitutif de l’expérience #MAVOIX, c’est la question de qui pourra voter sur la plateforme. Au tout départ, c’était les électeurs de #MAVOIX. Au fur et à mesure de l’expérience, d’échanges nourris, il a paru beaucoup plus logique et conforme au projet que ce soit tous les citoyens qui bénéficient de cette avancée démocratique. Ca n’a pas été voté, ce fut maturé, conscientisé. Ca fait partie de la culture commune de #MAVOIX désormais. Et il faut aujourd’hui remercier celles et ceux qui ont fait avancer cette réflexion.

Plutôt que d’organiser des votes sur chaque question d’organisation ou de stratégie, nous pratiquons l’itération. C’est la stratégie des petits pas : ceux qui font, en particulier en local, les mains de le cambouis, décident en partageant, co-construisant, recueillant l’avis des personnes concernées et on avance comme ça. Quitte à se tromper et à corriger la trajectoire ensuite.
J’entends particulièrement les remarques de celles et ceux qui ne sont pas toujours là et c’est tout à fait normal. Mais comment valoriser aussi les heures innombrables de passées par des dizaines de femmes et d’hommes en local, en réunion bimensuelles de partage et de mise en commun, de maturation, et lors des réunions globales ? Les choses y avancent, il est fondamental que le travail fourni soit utilisé puisque #MAVOIX se construit uniquement par celles et ceux qui font l’effort d’y consacrer du temps, et c’est très beau de voir que ce ne sont jamais les mêmes. D’autant plus qu’il n’y est jamais pris de décisions, mais de la maturation, documentée à la suite dans les comptes rendus. En résumé, à #MAVOIX les décisions ne sont pas prises, elles arrivent à maturité, elles deviennent évidentes.
Ces questions sont passionnantes, c’était exactement les mêmes sur les places à Nuit Debout : qui est l’Assemblée souveraine ? Il n’y en a pas. Il y a celles et ceux qui oeuvrent, et c’est notre chance par rapport à Nuit Debout, dans un cadre philosophique et d’action très précis : les législatives de juin 2017, en ayant pour but d’expérimenter une dose de démocratie directe dans l’Assemblée Nationale. Nuit Debout dont j’admire le moment historique, s’est éteinte en ne trouvant pas de réponse à l’Assemblée souveraine. Parce qu’il n’y en a pas. Il est impossible de prendre des décisions pour ceux qui ne sont pas en ligne ou pas sur la place. D’engager ceux qui ne participent pas. Par rapport à Nuit Debout, nous avons l’immense privilège de savoir deux choses :
En amont de l’expérience, c’est l’itération et la maturation qui nous permet de co-construire notre action dans un planning imposé.
En aval, à l’Assemblée, c’est 40 millions de citoyennes et citoyens qui seront l’Assemblée souveraine pour décider sur les lois, dans un timing imposé, un cadre défini et très clair.
C’est ce qui a permis de faire entrer #MAVOIX dans le réel en 2016 (Y).
A nous toutes et tous d’écrire la suite ensemble en 2017.

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Je n’avais pas vu de possible conflit d’intérêt, mais je comprends que la question puisse se poser, et c’est un bon cas pour moi pour réfléchir à notre fonctionnement.

Beaucoup de choses déjà bien dites, entièrement d’accord avec Colin, et pour s’inspirer du fonctionnement établi par expérience décrit par Quitterie.

Je parle en tant que non candidate. Pour répondre à certains points, voici, avec mes mots et en reprenant certains propos, mes reflexions :

  • il est préférable de commencer avec peu de gens, suffisamment connaisseurs de mavoix, moralement engagés, et disponibles. Le risque principal étant la gestion de données privées et sensible à mon avis.

  • je trouve « absurde » de s’embêter avec un principe généralisant qui exclurait Colin de la modération. Entre nous je pense que cela ne pose de problème à personne, notre expérience fait autorité, Colin peut faire la modération, ok ?

  • le travail technique en soi de modération ne doit pas prêter à interprétation et la procédure si il y a doit être rendue publique.

Si il y a des cas de figures qui peuvent poser problème

Trouvons ensemble les différents cas de figure.

Si le risque est d’ignorer des consignes de validation, définissons-les.

Les scénarios de validation définis de manière collégiale
auront intérêt à laisser peu de marge au jugement du validateur, ne
serait-ce que pour accélérer le processus et éviter les états d’âme.

Je pense que nous sommes dans une situation ou la transparence et la
procédure contrecarrent le risque de favoritisme ou d’auto-favoritisme.
Du coup, la procédure de validation, avec son arbre décisionnel, devra être public et facilement accessible.

  • pour se roder, et peut être même pour continuer ainsi ensuite, on établi une chaine de validation entre plusieurs contributeurs. (principe de la chaine de blocs?).

  • pour les cas problématiques, qu’il y aura toujours, on se réfère au groupe pour demander avis (nous venons de nous poser cette question à la team comm et de décider d’en parler collectivement) et/ou partager les reflexions qui pourront servir aux autres.

La modération se fait de manière collective ( avec un partage d ecran) on ne fait qu un seul acces, on planifie un hangout/skype. parce qu’il n y a pas que le fait d accepter/refuser qui peut-être problèmatique…

Si on commence petit, s’arranger pour trouver un créneau ou chacun est disponible devrait être possible, permettant d’identifier les cas problématiques et y répondre, et affiner la définition des scénarii de validation au fur et à mesure.

  • on privilégie l’autonomie de chacun dans ses décisions. A partir du moment où l’on pense pouvoir décider à la place d’autrui ce qu’il devra décider on est foutu.

  • on joue le jeu de l’expérimentation. On accepte qu’il puisse y avoir des erreurs, seulement on s’arrange pour les rendre visibles, pour rectifier le tir si besoin.

  • on prend le temps nécessaire au début pour établir la validation des candidatures, sans se mettre la pression inutilement. Si vraiment nous avons un problème de délai, nous envoyons un message d’attente.
    Une fois que le volontaire a transmis sa candidature, il ne va pas se retirer, et s’il le fait c’est qu’il était pas solide.

En espérant faire avancer le shmilblick
Bien à vous

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Ahahah, quels longs posts pour un sujet que je pensais mineur :wink:

@ColinMaudry Pas d’inquiétudes de mon côté, je te fais confiance :slight_smile:
Mon sujet avait juste pour but de régler proactivement une critique qu’on pourrait nous faire plus tard.

@Quitterie Si tu parles de leader l’équipe de modérateurs·trices, étant donné mes contraintes personnelles, je pense ne pouvoir rien faire avant mardi prochain :confused: C’est donc probablement mieux si d’autres s’en occupent.

Pour résoudre le conflit d’intérêt évoqué dans mon 1er post, je vous propose donc une autre solution prenant en compte vos remarques :
1 seul cas recensé à l’heure actuelle : Colin
Donc @ColinMaudry, acceptes tu ces 2 engagements :

  • ne pas valider/modérer toi même ta candidature
  • si tu es amené à invalider (modérer par la négative) une autre candidature, tu le feras en te basant sur des critères objectifs décrits dans le post de Quitterie ou par une éventuelle future équipe de modération (ce que tu appelles « les scénarios de validation définis de manière collégiale »)

Une simple acceptation et ce sujet serait clos selon moi. Car le conflit d’intérêt serait résolu par la confiance a priori en vigueur chez #MAVOIX.

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Il se trouve que je ne pense pas m’engager sur la modération en elle-même, je suis déjà bien occupé avec le développement de l’outil et son hébergement, plus une potentielle contribution à cocorico :slight_smile: A moins qu’il y ait besoin d’un coup de main ponctuel en cas de pic, mais je suis sûr qu’il y aura assez de volontaires.

Mais imaginons que je souhaite intégrer cette équipe de validation.

si tu es amené à invalider (modérer par la négative) une autre candidature, tu le feras en te basant sur des critères objectifs

Il me semble que ça s’applique à tout validateur, pas seulement aux validateurs-candidats.

ou par une éventuelle future équipe de modération (ce que tu appelles « les scénarios de validation définis de manière collégiale »)

Je ne suis pas sûr de comprendre.

Si je ne fais pas partie de l’équipe de validation (le plus probable), j’administre le serveur et l’outil, mais l’équipe de validation est autonome pour valider/supprimer des candidatures, et je ne m’en mêle pas.

Si moi, ou un autre candidat, se joint à l’équipe de validation, mis à part pour sa propre candidature, je ne pense pas qu’il y ait de conflit d’intérêts ou d’autre vice de forme.

Éventuellement, on pourrait dire qu’un candidat a intérêt à invalider le maximum de candidatures afin qu’il y ait moins de boules à tirer et ainsi augmenter ses chances d’être tiré au sort. Mais contre ça, je vous renvoie à mon premier post, et les parades à cette dérive (processus détaillé + transparence).

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validation des candidatures…une carte d’identité périmée est-elle valable pour le dossier à déposer en préfecture?
Merci à celle/celui qui a la réponse…

Une carte d’identité (ou un passeport) dont la date de validité est dépassée depuis moins d’un an devrait être acceptée.

c’est même « moins de cinq ans » d’après les infos eues entre-temps.
merci :wink:

Attention ! En 2014, la durée de validité a bien été prolongée de 5 ans cependant les textes qui fixent la liste des pièces recevables (comme le R5 du Code Electoral) continuent à faire mention d’une carte dont la validité a expiré depuis moins d’un an.

A mon avis, c’est donc sujet à interprétation.

Voici ce que le ministère de l’intérieur nous a répondu par ailleurs : « Je vous confirme qu’un passeport en cours de validité ou dont la validité a expiré depuis moins d’un an au jour du dépôt de la demande est suffisant »

Je ne détaille pas l’ensemble des articles mais j’avais rédigé une page sur le wiki.

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Pour utilisation future, j’ai essayé de compiler les résultats de cette discussion sur cette page du wiki. N’hésitez pas à modifier ou commenter :slight_smile:
http://wiki.mavoix.info/index.php/Validation_des_candidatures_au_tirage_au_sort