Susciter l’envie de contribuer aux actions au delà de sa zone de confort plutôt qu’utiliser exclusivement les compétences de chacun.
Un article Intéressant sur le moteur en milieu associatif, non basé sur la compétence mais l’appétence:
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Après 9 ans dans le monde associatif, (bénévole croix rouge française et les restos).
Je dirais que pour qu’un bénévole continue à s’investir, il lui faut trouver sa propre envie d’agir.
Ne pas le brider à son savoir faire, et le laisser libre d’agir à sa convenance. Une chose que nous rencontrons souvent au sein de mavoix et qui est fortement appréciable est que les divergences ne sont jamais ni de la condescendance, ni un rapport de force « moi, je sais ». Et la prise en compte de l’autre avec sa différence.
Je crois que tant qu’on gardera ça en nous, et je pense que celui qui veut s’en remettre à la masse pour décider (projet mavoix) est forcément quelqu’un de humble. C’est notre ADN, du coup, on devrait garder ça.
Il faudra toujours lutter contre l’autosatisfaction aussi, même dans les plus caritatives associations c’est parfois démotivant de voir des personnes ne briller qu’au travers celle-ci et du coup se battre pour rester « président, membre du bureau… »
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