Bonjour @francoise_69, merci pour votre contribution.
Ma réponse à votre argument (pour les autres, désolé pour la redite) : dans ce cas, pourquoi ne pas abandonner le tirage au sort et simplement choisir par élection celle ou celui qui se sera le plus investi, en temps et/ou en argent, dans la promotion de #MaVoix ?
De deux choses l’une :
- soit on veut vraiment tirer au sort, auquel cas il faut réduire au maximum les contraintes de manière à ce qu’il y ait le plus de volontaires possible ;
- soit on veut sélectionner un volontaire « méritant », auquel cas le tirage au sort n’est qu’un artifice superflu qu’on peut tout aussi bien économiser.
Un entre-deux tel qu’on l’envisage me semble forcément inférieur à ces deux solutions puisqu’il cumule les inconvénients sans apporter d’avantage supplémentaire.
Enfin, ce que je ne comprends pas : n’étiez-vous pas satisfaits de l’expérience de la législative partielle de Strasbourg ? Or vous n’aviez exigé de Daniel Gerber ni de participer à une réunion à Paris, ni de s’inscrire dans une circonscription éloignée de son domicile. Qu’est-ce qui vous a déçu pour que vous ressentiez le besoin de durcir les conditions cette année ?
Quant au financement, j’imagine bien en effet que vous pouvez renoncer à un certain nombre d’affiches ou de bulletins de vote pour imposer aux candidats des déplacements supplémentaires (qui auraient été évités avec des TAS locaux). La question que je me pose, c’est : l’objectif qui est visé en imposant une affectation aléatoire des circonscriptions mérite-t-il vraiment d’amputer le budget de la campagne électorale ?