Je pense qu’ouvrir un groupe fermé serait s’engager dans une voie décriée ici et ailleurs, à savoir la centralisation du collectif.
Même sous couvert de bonnes intentions, il faut veiller à garder la souveraineté des groupes locaux sans prédominance d’un super-groupe.
J’entends le besoin de se coordonner mais il paraît aussi pertinent de communiquer. Hors, rien n’interdit à un provincial de venir régulièrement à Paris et donc d’avoir besoin d’être informé soit directement, soit par l’intermédiaire d’un rapporteur de son groupe local.
En lieu et place, j’aurai envie de proposer un groupe de compétence communication intégrant au moins un rapporteur de chaque groupe local mais cela pourrait faire doublon avec les temps d’échanges des groupes locaux du jeudi soir.
Quelqu’un aurait une autre idée ?